Tous les conflits qui peuvent surgir au sein de la famille ou les autres dossiers portant sur les droits des personnes sont traités en droit de la famille. Mariage, divorce, séparation de couples en concubinage ou PACS, partage de patrimoine, changement d’état civil… Maître BREJAUD maîtrise parfaitement son domaine. Pour trouver des solutions aux problèmes de vos affaires familiales ou avoir un conseil juridique sur certains cas, faites appel à votre avocat à Albi.
Pour les différentes situations dans les affaires familiales à Albi et ses environs (Saint-Juéry, Carmaux, Gaillac et Graulhet), contactez votre avocat en droit de la famille. Il intervient pour les affaires relatives à la nationalité, la filiation, les procédures de divorce, mais aussi les séparations hors mariage ou PACS. Il est aussi expérimenté dans les successions, le partage du patrimoine…
Tous ces domaines entrent dans le cadre du droit de la famille, une branche du droit civil relatif à la gestion des liens familiaux et des droits et obligations qui en découlent. Votre avocat à Albi Maître BREJAUD connait toutes les modifications apportées à cette branche du droit, ce qui lui permet de vous apporter des solutions les plus adaptées à vos problèmes et de défendre vos droits et intérêts.
Quelle que soit la complexité de vos affaires familiales, Maître BREJAUD peut vous assister, mener une expertise familiale et vous accompagner dans les différentes procédures vous concernant.
Pour les couples - mariés, vivant en concubin ou en PACS – n’hésitez pas à avoir un conseil juridique de votre avocat en droit de la famille à Albi pour l’établissement d’un régime matrimonial. En cas de divorce ou de séparation, elle peut défendre vos intérêts pour la garde des enfants, la pension alimentaire, les prestations compensatoires…
Maître BREJAUD intervient également dans les adoptions (simple ou plénière), les actions en filiation (reconnaissance ou contestation de maternité ou de paternité…), la protection des mineurs et le changement d’état civil. A ce sujet, le changement de prénom est confié aux officiers d’état civil des mairies. Si l’officier estime qu’il n’y a pas d’intérêt légitime, le demandeur pourra saisir le Procureur de la république. Cette disposition est entrée en vigueur le 1er janvier 2017 depuis la loi sur la modernisation de la justice du 21ème siècle.
Consultez également :